Être ou ne pas être hyper-productif » ou « Qu’est ce que les personnes hyper productives font différemment ?
Etre ou ne pas être hyper-productif ? Ca veut dire quoi ? Cet ignite talk présente le savoir-être et le savoir faire d’un hyper-productif. Il donne aussi les clés du système à utiliser pour être hyper productif chaque jour. Enfin, pour ne pas rester seul, l’hyper-productif possède des clés pour propager cela autour de lui.
La productivité est une mesure de rendement, rapport entre le résultat d’une activité productive et les facteurs de production utilisés pour y parvenir . Il prend ses origines dans le monde de la production. Etre productif c’est avoir une grande productivité.
La productivité a plusieurs niveaux : super, hyper, ultra, à chacun son rythme, à chacun son style. On est hyper productif lorsqu’on est au dessus de la normale… en évitant l’ultra productivité, trop extrême voire excessive
Qu’est ce que savoir être hyper-productif ?
Cinq leviers sont nécessaires :
- Premier levier : un esprit sain dans un corps sain. L’hyper-productif pense comme un gagnant, connait son but, jongle avec tous les leviers présentés ci-après Le tout avec une excellente santé et une vie saine.
- Deuxième levier du savoir-être, la maîtrise des relations avec les tiers. L’hyper-productif sait dire non lorsque c’est nécessaire, prend des décisions, délègue, fait des retrospectives régulièrement, sait que son temps est précieux.
- Avec le troisième levier, l’hyper-productif recherche la performance au quotidien. Comment ? En n’étant pas multitache, en restant focalisé sur ce qui compte, en pensant toujours aux résultats, en utilisant des penses bête, et en pratiqant le 5S.
- Le quatrième levier du savoir-être permet à l’hyper-productif de communiquer sans hésiter c’est à dire à chaque occasion, en soignant forme et fond. Il ose demander sans tergiverser et passer en mode synchrone lorsque le ping-pong de mails s’agite.
- Cinquième levier du savoir être, l’action plutot que la parole. L’hyper-productif est résolument tourné vers l’action, il agit sans tarder, sans chercher la perfection plutôt adepte du 80-20 de pareto. Il fait évoluer ses sujets, en amélioration progressive.
Quel savoir FAIRE pour être hyper-productif?
Cinq leviers sont aussi utiles :
- premier levier, la gestion du temps. Tous les matins, l’hyper productif organise sa journée. Il planifie sur plusieurs semaines, tenant compte des priorités. Il élimine tout ce qui nuit à sa productivité et sans valeur ajoutée
- Deuxième levier du savoir-faire, la maîtrise des réunions. L’hyper-productif organise réunions et groupes de travail à bon escient. Il porte un effort sur la préparation, le cadrage et la dynamisation systématique des réunions aux quelles il participe
- Avec le troisième levier, l’hyper-productif dompte les technologies en bon maître. Il s’appuie sur les TIC pour les alertes, rappels…, les utilise à chaque occasion pertinente. Il reste néanmoins maître des TIC en gardant le contrôle et en étant très automome.
- Le quatrième levier du savoir-faire permet de gérer l’information et les réseaux. L’hyper-productif n’hésite pas à s’entourer d’experts de confiance. Grace à eux, il accède à des informations qualifiées. Il accorde de l’importance à l’animation de ses réseaux
- Le dernier levier du savoir-faire permet à l’hyper-productif de s’appuyer sur une équipe gagnante. Il choisit des contributeurs de confiance, constitue son équipe étendue, polyvalente et complémentaire, et consacre du temps à dynamiser cette équipe
Quel système utile pour être hyper productif?
Nouvelle dimension maintenant avec le système utile pour être hyper productif.
Le premier levier concerne le système de pilotage, tant pare-brise pour piloter l’avenir/anticiper, que retro-viseur pour analyser le passé. Et en faire régulièrement la revue .
Le deuxième levier concerne le système de management. Ancré sur les risques et opportunités, il permet à l’hyper-productif de maîtriser ses activités grâce à des dispositions pertinentes et des règles communes. Il garde aussi des traces dans une logique de preuve.
Le dernier levier s’intéresse au système de capitalisation. L’hyper productif contribue à la capitalisation, il transfère sa connaissance et celle des autres. Il la consolide régulièrement pour plus de valeur ajoutée. Passons maintenant à la propagation.
L’hyper productif cherche à propager l’hyperproductivité.
Pour cela il va pratiquer « l’élitisme social ». Cela consiste à s’appuyer sur les plus engagés, pour s’intéresser ensuite, avec eux, aux moins matures.. et les faire grandir. Progressivement, tous sont tirés vers le haut.
Il s’appuie aussi sur l’accompagnement au changement. L’hyper-productif porte les transformations et mutations de l’entreprise. Il accompagne les différents changements, progressivement. Il cherche à motiver sans manipuler.
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